vendredi 25 juin 2010

lundi 21 juin 2010

vendredi 22 mai 2009

L’église appelle ses jeunes à la conversion

Après sa conférence sur la sexualité, nous avons rencontré abbé Alfred Waly Sarr secrétaire général de l’archevêché.
La conférence s’est tenu le mercredi 19 mai à l’église saint dominique.

Abbé quest. qui vous à vraiment poussé à tenir cette conférence ,et pourquoi ce lieu ?

Les jeunes ignorent la gravité de la sexualité ; de nos jours nous avons remarqué que les jeunes ne s’engagent pas dans l’église
Et s’adonnent plus au plaisir ;alors que l’église a besoin de ses jeunes. c’est sous c’est angle que nous avons tenu cette conférence pour appeler les jeunes à l’abstinence. En ce qui concerne le lieu ,nous l’avons choisi parce que nous parlons de la sexualité par rapport à la bible.


Les jeunes chrétiens sont ils autorisé à faire des rapport sexuels hors mariage ?

La religion interdit les rapports sexuels avant le mariage. C’est un très grave péché reconnu dans l’église et bien mentionné dans la bible .Ces facteurs sont des raisons pour que nos jeunes s’abstinent.

Aujourd’hui les jeunes banalisent la sexualité selon vous quelles peuvent être les conséquences de ce comportement ?

Les jeunes croient que la sexualité est banale et quelle peut être utilisé n’importe comment ;alors que c’est quelque chose de sacré, de précieux .le plus beau cadeau que la jeune fille peut offrir à son mari ,c’est la virginité .Mais nous constatons que cela devient de plus en plus rare .Comme conséquences il y a les grossesses précoces, in désirées, les maladies sexuellement transmissibles etc.…

Nous avons remarqué que beaucoup de jeunes ont assisté à la conférence dont vous avez été l’animateur Croyez vous qu’avec des manifestation comme celle ci la situation peut s’améliorer ?

Cela vaut la peine d’essayer ; car il est très important que l’église catholique rencontre souvent ses jeunes pour discuter des sujets comme tel. de ce fait nous ne pouvons qu’espérer une amélioration dans la vie des jeunes ,de même qu’une conversion totale parce que nous avons besoin que nos jeunes se convertissent.

Marie henrie sarr

vendredi 8 mai 2009

TENTATIVE DE SUICIDE
LES pâques se sont bien déroulé au village de Mbodiene ou y’avait plein de monde. L’ambiance régnait dans notre quartier appelé Ngolgnick.C’était le dimanche 12Avril jour de la paque.Vers 16h, c’est la préparation pour le nguel (danse sérère).Tout s’était bien passé jusqu’au moment ou nous avons entendu des cris. Ces cris venaient d’une maison voisine ; tout le monde accoure pour voir. A notre arrivé, on nous apprend que le vieux Maad Ngning (voyant au village) tentait de se suicider. Il avait demandé à sa belle fille un couteau mais celle-ci avait refusé car selon elle, ce dernier mentionnait ce fait depuis le matin du dimanche. Il trouva alors un coupe coupe et une fois dans sa chambre commença à frapper sur sa téte.C’était vers 20h30.Heureusement que les gens de chez lui l’ont vu très tot.Maad était complètement blessé ; il y’avait beaucoup de sang dans la chambre, on dirait que l’on a égorgé un animal dans la chambre. La peur régnait dans la maison, tout le monde pleurait. Après le constat du chef du village Mr Edouard Diouf on amena le blessé au dispensaire de joal.Selon quelques voisins et quelques membres de la famille de la victime, c’est depuis le matin que le vieux disait qu’il allait mourir et même s’il était ivre, il l’avait déjà programmé. Le problème c’est qu’ils ne prêtaient pas attention a ce que celui-ci disait, croyant qu’il blagué. Cet incident a été une rupture de la fête car tout le monde croyait qu’il était mort. Heureusement qu’il a échappé belle a la mort.
MarieHenrieSarr
Un Week vend à Saly


C’est toujours la fête à Saly ! L’ambiance y règne et c’est des va et vient de tous les cotés.Le plus impressionnant c’est que la vie chère ne se manifeste pas la bas ! Hôtels et plages remplis, restaurants bien occupés.


Je suis arrivé à la résidence du port au environ de 17h.Cette résidence est très grande ;elle est composée de plusieurs appartements numérotés et bien équipés.Dans chaque appartement, il y a deux chambres,un salon , des toilettes, une cuisine et une terrasse.Au milieu de la résidence se trouve une très belle piscine bien soignée.Aprés une bonne baignade à la piscine,je me dirige vers la plage qui n’est pas du tout loin de la résidence.Il y’avait beaucoup de monde ;certains étaient venu en couple d’autres seul, d’autres avec leur chien. Il y’avait que des habitants de la résidence sur la plage. Pendant que certains se baigner, d’autres s’adonner au jeux avec de jolis maillots de bain.Ver 19h la nuit s’annonce ; je retourne à la résidence et je me prépare pour aller dîner dehors.En route vers ngaparou ; un village pas loin de Saly.C’est devant un restaurant nommé « étoile d’orient chez Marie »que nous nous sommes arrêtés Jean Claude et moi. A l’étoile d’orient c’est l’ambiance sur la terrasse comme à l’interieur.Ce dernier est bien équipé ,ordonné,c’était trop beau.Des serveuses très disponible et très bien habillées se présenter sans cesse.On pouvait distinguer à gauche des toilettes et à droite une chambre ;il était écris sur la porte de cette chambre : « accès interdit ».Après avoir commandé le dîner on attendait jusqu’au moment ou une prostituée s’est présentée.Celle ci était habillée d’un pantalon noir,un haut vert, des chaussures vertes et un sac vert.Elle était très sexy, très belle et très bien coiffée.A son arrivé dans le restaurant, elle donna des bizous à tous les gens qu’elle connaissait.Elle resta un peu assise auprès d’un blanc de grande taille avec le quel elle parlait à voix basse ;elle sorti ensuite avec ce dernier.D’après la conversation que j’ai entendu dans le restaurant, cette prostituée était originaire de Thiés.De tous les couples du restaurant il y’avait qu’un seul couple blanc tous les autres étaient mixes(noirs et blancs).Le dîner terminé, on rentre à la maison .Sur le chemin du retour notre voiture tombe en panne à 20m du restaurant ;un problème se pose car on pouvait pas la dépannée il faisait tard il était 23h.On ferma alors la voiture et nous rentrâmes en taxi.Nous avions programmé d’aller en boite mais malheureusement Jean Claude s’était énervé à cause de la panne et nous avons finalement désisté.C’est son ami qui nous a gâché la fête car il n’avait pas mis le montant de gasoil qu’il fallait.D’après notre recherche, la ville de Saly est toujours en fête ; il y’a beaucoup de touristes et le danger c’est que cette fête est composée de femmes, alcools drogues…autrement dit que de tentations.

Marie Henrie Sarr

mardi 5 mai 2009

TYRANNIE DE LA COMMUNICATION

INTRODUCTION

En ce 21ème siècle alors que l’information arrose notre société grâce à la multiplication des outils de communication, on peut s’interroger sur l’avenir et le rôle du journaliste et même de se demander s’il est toujours utile. On constate en effet, qu’il existe entre le journaliste et le grand public un fossé qui se creuse et une incompréhension qui s’amplifie. Aujourd’hui, les sources d’informations sont tellement multiples et quasi-instanées, que chaque individu est inondé, sursauté de nouvelles. Cela dénote t-il d’une volonté d’informer ou de manipuler l’opinion. Que dire de certaines pratiques journalistiques à la remorque de scandales politiques. Dans cet exercice, l’impact de l’image est d’une particulière, en ce sens que nous vivons dans la société de l’image. Mais la liberté de montrer ne doit-elle pas être encadrée par le droit de regarder sans être choqué ? Ne faudrait-il pas pour l’émergence d’un monde meilleur repenser la communication sur la base d’une démarche équilibrée entre le professionnalisme et l’éthique ?

I - PRESENTATION DE L’AUTEUR ET DE L’ŒUVRE
1. L’auteur
Né le 05 Mai 1943 et de nationalité espagnole, Ignacio Ramonet auteur de cet ouvrage intitulé « la tyrannie de la communication » est journaliste, sociologue, théoricien des médias et de la culture et docteur en sémiologie. Promoteur du Forum Social Mondial de Porto Allègre (Brésil) dont il a proposé le slogan « un autre monde est possible », il est l’une des voix les plus représentatives des alter mondialistes. Il est l’auteur de plusieurs livres dont notamment La communication victime des marchands (1989), Nouveau maître du monde (1996), Propagandes silencieuses : Masses, télévision, cinéma (2000), etc. comme journaliste, il reçut de nombreuses distinctions internationales.
2- L’œuvre
Publié en 1999, aux éditions Galilée et composé de 285 pages, « La tyrannie de la communication » est un essai salvateur qui aborde des thèmes centraux de la lutte qu’il y a à mener aujourd’hui contre la connerie ambiante… En vrac, les mensonges médiatiques incités soit par la course aux scoops soit par des montagnes contrefaits pour ressembler à la réalité, la surenchère d’informations et le bidonnage qui empêchent d’exercer un esprit critique.

II- RESUME
Ignacio Ramonet analyse dans ce chapitre l’emprise des médias sur la société, et l’avènement du multimédia et du numérique qui a induit de profondes transformations de systèmes d’informations. Cette révolution est souvent présentée comme une libération, une garantie supplémentaire de la transparence démocratique. Ignacio Ramonet s’attache à pulvériser ses illusions. Aujourd’hui, son statut, c’est devenue une marchandise que l’on doit pouvoir vendre dans le monde. Ainsi, elle lui est impossible de jouer son rôle fondamental : d’éclairer le débat démocratique, fonction essentielle à sa bonne marche.
Autrefois, la véracité d’une nouvelle représentait sa plus grande valeur. De nos jours, le rédacteur en chef ou le directeur d’un journal ne demande plus qu’une information soit vraie, mais qu’elle soit intéressante. L’auteur revient de ce fait sur les dysfonctionnements mettant à jour les contradictions nées des toutes communications. En dénonçant vigoureusement et clairement les dérives, Ignacio Ramonet montre comment les médias deviennent un moyen d’asservir et d’aliéner les citoyens.

III- LES CARACTERISTIQUES DE L’INFORMATION
La première caractéristique de l’information est la surabondance à notre portée or celle-ci peut provoquer la désinformation, d’où la censure imposée parfois. L’idée répandue que la quantité d’information est liée à celle de liberté, est totalement erronée de nos jours car ajouter de l’information n’augmente pas la liberté.
IV- LES CRITIQUES
Ignacio Ramonet a tenu des critiques acerbes contre les journalistes. Il est catégorique dans ses analyses et il met tous les journalistes dans le même sac. L’auteur de Géopolitique du chaos (1997) soutient la fin du journalisme ce qui n’est pas vrai à cent pour cent, parce que le système a besoin du journalisme. Le fait qu’il sert d’alibi montre qu’il est important. En outre, Ramonet n’a pas montré comment le journaliste doit se comporter devant à cette révolution numérique. Il a tout simplement décrit le côté négatif des Technologies de l’Information et de la Communication c’est un rejet aveugle des bienfaits de ces outils. Ces outils (Internet, ordinateurs et téléphone portable) devaient améliorer la performance des journalistes et non produire l’effet contraire. En plus, il a manqué de courage envers les médias français contrairement aux autres médias occidentaux. Jean-Pierre Tailleur, auteur de « Bévue de presse, 2002 » et d’un essai bibliographique « Mal journalisme à la française, 2003 » s’interroge sur la « pauvreté d’une argumentation simpliste, dogmatique, dépourvu de reproches envers les médias français de Ramonet. Des journaux « indépendant », du Canard enchaîné de la Dépêche de Midi produisent parfois aussi de la mal information. Si l’on sait que la presse française est trop souvent une caisse de résonance de ces prêts à penser faussement constructifs et incisifs ». Selon toujours Jean-Pierre Tailleur : Ramonet « a tort d’imposer l’idée que le mal journalisme ne se jauge que par le biais des excès capitalisme ».
En effet, Ignacio Ramonet semble décourager bons nombres de jeunes qui veulent embrasser le métier de journalisme. Si le milieu pourri comme il le pense, il ne serait pas toujours journaliste. Le concours du CESTI semble démentir le pessimisme de Ramonet, le nombre de candidats augmente d’année en année.

CONCLUSION
Les temps ont changé, l’exercice journalistique n’est plus uniquement l’investigation, la recherche de l’information mais aussi le tri et la hiérarchisation. Le journal doit redonner ses lettres de noblesse à l’information, il doit la vérifier, il doit la hiérarchiser, il doit la mettre en forme, il doit lui permettre d’être lue, vue et entendue par le plus grand nombre de personnes. Cependant, des questions aussi ne manquent pas. A quoi sert un journaliste à l’heure ou le tsunami est relayé par les vidéos amateurs ? A quoi sert un journaliste quand l’information se trouve en permanence et à profusion sur Internet et déjà sur le téléphone portable envoyé automatiquement. Et Ignacio Ramonet d’ajouter « de quels problèmes actuels le journalisme est-il la solution ? Si nous parvenons poursuit-il à y répondre alors le journalisme ne disparaitra jamais ? ».

Marie-Henrie SARR